mardi 17 mars 2015

"Le classique par le moderne de Luc Bondy"

(Critique d'Aissata qui n'arrive pas à poster sur le blog)

Près de trois siècle apres , luc bondy nous fait redécouvrire la comédie La seconde surprise de l'amour par Marivaux en nous exposant une mise en scène qui traduit cette comédie classique par la modernité. Une marquise veuve qui n a pas encore fait son doeuil rencontre un chevalier qui vient de vivre une deception amoureuse. Ils vont ensuite, à partir de ce point commun, construire un amour qu'ils vont abriter sous le nom d'amitié jusqu'au moment où celui-ci va éclater au grand jour. Luc bondy fait revivre cette pièce sous un aspect contemporrain, moderne . Pour cela il va user de l'apparence de ses comédiens. On constate par exemple que la Marquise porte une longue robe noire non bouffante avec par dessus une veste noire tout est noire pour faire apparaitre son desespoir, son desaroi sa douleur cependant la coupe de sa robe est à la mode de l'époque de la mise en scène c'est à dire un décolté en “v” . Lisette, la servante de la marquise, n'a pas du tout l'apparence d'une servante, elle a d'ailleurs une meilleure mine et parrait plus noble que sa maitraisse, elle est vétue d'une robe courte et blanche qui est symbole de son dévouement et de son innocence sur un léger collant noir accompagné de chaussures à talons aiguilles vernies noires, et coiffée d'un brushing carré avec une petite frange type Kate Moss, donc une coiffure ainsi qu'une tenue très en vogue chez les femmes dans les années 2007 - 2008. Le chevalier lui n'a pas l'air d'un chevalier il m'a parru etre plus jeune que la marquise vetu d'une chemise blanche braillée sous un pantalon droit et jaune accompagné d'une veste noire , la tenue que porterait n'importe quel homme de 20 à trentes ans de nos jours. Lubin, le valet du chevalier, lui, porte un ensemble de domestique contrairement à Lisette, cette tenue peut également couplée sa bicyclette faire penser à celle d'un facteur ce qui ne serrait pas impossible sachant que son apparission est systèmatiquement porteuse de message. Monsieur le compte je trouve à été le mieux représenté du point de vu de l'apparence dans cette pièce. En effet en lisant la pièce je me l'imaginait assez vieux , on voit bien que c'est un monsieur qui doit avoir dans les 55 ans ainsi il est vetu d'un complet de couleurs clair avec des chaussures noire une tenue que porterrait n'impore quel homme riche du meme age. Leurs tenues, ainsi que leur coiffures soulignent particulierement le coup de neuf rendu à cette pièce. Le metteur en scène va également traduire le classique par le moderne à travers le language que va utiliser les comédiens. On remarque en effet l'emploi d'interjections, d'exclamations , de mots qui rendent les répliques beaucoup plus contemporraines qui n'existaient pas à l'époque ou la pièce fut écrite mais, que nous, hommes du 21 eme sciècle, utiliserions sans hesiter par exemple “waou” ou encore, à cette époque vous n' entendrez jamais quelqu'un traiter untel “ d' andouille” encore moins dans les écrits . De ces deux faits, en dehor des roles que les comédiens occupent : chevalier compte valet … il aurrait tres bien pu s'agir, si l'on se base sur cette mise en scène , d'une comédie de nos jours. Cependant le décor est et reste très symbolique il ne fait qu'illustrer la situation : douleur de l'échec amoureux cette peine qu'éprouve les deux protagonistes. On peu donc observer sous nos yeux un parquet noire une estrade floue sur laquelle se trouve deux tente en mousseline toujours noire qui font guise d'appartements pour la marquise et le chevalier. Cepandant on remarque tres facilement qu'il sort de ce décor très sombre une forte lumière blanche qui d'après moi représente très bien cet espoir illusoire dans l'obscurité de l'insertitude et la douleur des blessures du passé . Enfin on remarquera sur l'avant de la scène une trainée d'éléments blanc formant une vague cette limite ne fut traversée à aucun moment de la seine sauf par lubin quand il va déclarer son amour à lisette ( en bicyclette ) ainsi qu'a la fin quand l'union de la marquise et du chevalier devient alors explicite. Cette trainée de blanc sybolise d'après moi tout simplement l'amour , elle est alors une vague pour démontrer ces variations mais comme on le voit dans cette mise en scène , une fois de l'aure coté, on y reste. En ce qui conserne la fin je la trouve plutot triste pour celle d'une comédie ,je dirais meme catastrophique elle ne reflete pas du tout le “tout est bien qui finit bien” propre à la fin d'une comédie. S'il n'en tennait qu' a moi j'aurrai fait de cette fin une scène d'artifice avec pleins de lumières, de danses et de paillettes pour finalement montrer que toutes ls démarches mises en oeuvre dans l'intrigue de la pièce en valaient bien la peine.

1 commentaire:

  1. Analyse très pertinente, personnelle et intéressante.
    Tu dois par contre améliorer absolument la langue : l'expression, la ponctuation, l'orthographe.

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