dimanche 8 mars 2015

Fêtons le renouveau de la Seconde Surprise de L'amour!

Critique de Ceddo, qui n'arrive pas à poster sur le blog (problèmes techniques)



           Ecrit par Marivaux et mis en scène par Luc Bondy, La Seconde surprise de l’amour nous fait découvrir une Marquise qui se retrouve veuve un moi après sont mariage.. Courtisée par le Comte et refusée par le Chevalier, la Marquise va tenter de séduire ce-dernier dont le refus a blessé son amour-propre. Mais dans ce jeu dangereux, elle va succomber au charme du gentilhomme. Parallèlement, les valets poursuivent leur propre intrigue: Monsieur Hortensius, le pédant de la Marquise, courtise Lisette qui, elle, s'éprend de Lubin.
 Au lever de rideau, on découvre un décor sombre composé d’un parquet noir et d’une estrade floue sur laquelle deux maisonnette toutes aussi sombre sont posée. Le fond gris est associé aux cieux. On a la un ciel ouvert à l’infini sur un chemin concis  de petits cailloux blanc. Plus tard dans les pièces le chemin sera difforme, les petits cailloux seront éparpillé victime du mouvement accéléré, vif des personnages. Cette transformation est a associée a la métonymie du monde extérieur et à la complexité des réseaux amoureux. Le chemin blanc serpente sur le devant de la scène. Ils représentent les aléas de la vie avec les hauts et les bas.  On remarque que les comédiens se couchent dessus quand ils sont exténués par leur situation, perdue. Ce chemins nous livre un message : les relations amoureuse sont complexe mais a la fin de la route le bonheur nous attend (chaque couple se « trouvent » a la fin de la pièce). Malgré les valses, les hésitations, les dissimulations ils vaincront avec un amour partagé.  La modernité de cette pièce est clairement marquée par le cadre lumineux installé au centre de la pièce.  Ce cadre fait l’effet d’un tableau mouvant en mouvement. Il permet de dépouiller la scène en nourrissant l’espace d’un vide. Ce cadre devient le faire valoir des acteurs car avec la lumières qu’il émet les corps des acteurs se dessine devant nous. Ce cadre réduit notre champs de vision et nous force à regarder dans. 
En effet les traits psychologiques des personnages sont mieux dissimulable. Le décor sombre rejoint les costumes des comédiens. On s’est qu’on est en deuil, la Marquise porte une longue robe noire pour une grande tristesse.  Le jeu des acteurs est paradoxal. On n’a de la vivacité chez l’un et du pessimisme chez l’autre. Lisette est rajeunis avec une coupe a la carré. Lubin, homme du peuple donne de la tonalite a la pièce avec un langage ponctuer et familier par-dessus. On comprend très vite que chaque personnage est encre dans les temps contemporain. Le chevalier n’a pas d’épée mais il se pavane habillé en dandy tandis que Lisette la servante de madame, sautille en talons haut et en petite robe blanche. Le jeu de la Marquise est trop constant. Celui de la femme en deuil éploré et triste a l’air un peu sur joué. La comédienne peut nous paraître plate. Lubin qui se promenant sur la scène avec son vélo accentue la modernité du travail de Luc Bondy. Le Chevalier est bien plus pathétique que charmant cela permet au spectateur d’avoir le point de vue du metteur en scène sur la pièce. Les deux amoureux que sont la Marquise et le Chevalier s’éloignent comme il se rapproche l’un de l’autre. Le rythme de leur complexe relations en dépend. On a un effet impulsion répulsion qui se crée entre les deux acteurs. Le rajeunissement de la pièce est aussi mis à bien grâce aux jeux des acteurs. IIs vont de partout comme si ils étaient tous étonner d’être la. Les répliques sont modernes car elles sont issues du langage de chacun : on retrouve l’accent parisien, les répliques sont moins soutenue et plus familières

Il y a une scène qui ma particulièrement plus. Dans la scène 2 de l’acte 2 Lubin expriment toute la versatilité des personnages en quelque seconde. Lubin perdu ne sait plus qui aimer. La figure de Marathon veux se délogeait tandis que celle de Lisette veux se logeait. Ainsi noyé dans la complexité de la tache Lubin dessine un cœur au sol. Il illustre son problème pour mieux le régler, un cœur, deux cotés .Après se passage le choix de Lubin est fait.

                      Ceddo Niang


1 commentaire:

  1. C'est bien, et même d'excellents passages !
    Des fautes d'orthographe à corriger (beaucoup...).
    Améliore la fin (dernier §), bien plate et rapide par rapport à ce qui précède.
    Quel dommage que tu n'aies pas posté ce travail à temps (pénalité).

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