Cher camarades, comme vous le savez, nous étudions en vue de
notre second objet d’étude sur le Théâtre, le recueil La Seconde Surprise de
l’amour de Marivaux ; une comédie en trois actes. J’aimerais vous faire
part de mon point de vue et vous proposez un article à étudier en lecture
analytique. C’est la scène II de l’acte II de la page 187 Lubin : Ah ! Pauvre
Lubin ! J’ai  bien du tournement dans
le cœur ; à la page 190 Lubin : Laisse-moi faire, il
s’agit de Lubin et Lisette, des domestiques comiques. Dans cette scène Lubin
est confronté à un choix, qui d’entre Lisette et Marthon aime-t-il ? Il
choisit Lisette, mais celle-ci voit un obstacle dans leur relation : le
Chevalier ne veut point s’attacher à La Marquise et tout les deux sont
contrains à rester avec leurs maîtres. Lubin propose donc d’arranger un mariage
entre leurs maîtres et eux pourront s’épouser aussi. Il est intéressant
d’étudier cette scène car à travers une tonalité comique, des sentiments
amoureux sont révélés, mais aussi, elle va constituer le moteur de l’intrigue,
c’est grâce au stratagème des servants que l’histoire entre les différents
protagonistes : La Marquise, Le Chevalier, Le Compte et Hortensius va
prendre forme. De ce fait, nous pourrons nous demander en quoi cette scène
est-elle comique ? En quoi cette scène est-elle révélatrice du bouleversement
de la pièce ? En quoi cette scène est-elle la scène-clé de la pièce ? En quoi cette scène marque-t-elle un changement au cours de
l’histoire ? 
Sarah
Akar
 
 
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