Extrait choisi :
Acte I, Scène II de la page 152 à 154, de "Madame, pardonnez l'embarras..." à "... qu'il vienne sur le champs ... Ah!" et acte I scène III de la page 154 à 157, de "La voila qui soupire..." à "Bonjour l'ami."
Pourquoi ? :
          La scène II est comique car Lubin, entièrement dévoué à son maître le Chevalier utilise tous les stratagèmes rhétoriques afin de convaincre la Marquise de recevoir ce dernier. Il va jusqu'à faire semblant de pleurer à l'image du Chevalier "Mais en effet, je crois qu'il pleure", ce qui agace considérablement Lisette la suivante de la Marquise qui tente coûte que coûte de lui couper la parole "Tais-toi".
Les relations conflictuelles entre les personnages Lisette et Lubin sont exacerbées par les minauderies de ce dernier prêt à tout pour arriver à ses fins.
J'ai notamment choisi d'intégrer la scène III car elle reflète la continuité de la querelle entre Lisette et Lubin. Cette scène donne lieu à d’âpres explications entre les deux personnages qui ne risqueront pas moins que d'amuser le public. Lisette semblent contrariée de voir sa maîtresse ainsi "La voila qui soupire" tandis que Lubin lui semble être fier d'avoir rempli sa mission, tâter le terrain pour le Chevalier, "..ils ont fait plaisir à Madame, et monsieur le Chevalier l’accommodera bien autrement.."
Ces deux scènes sont très intéressantes car elles montrent clairement que le comique n'est pas forcément exprimé qu'à travers des faits et gestes drôles et amusants, dans ce passage le spectateur rit du malheur des autres, exprimé à travers des pleurs et des disputes.
Je trouve donc cette idée "les malheurs des uns font rire les autres" assez intéressante car elle évoque deux sentiments contraires qui justement s'allient formidablement bien dans ces scènes.
J'ai notamment choisi d'intégrer la scène III car elle reflète la continuité de la querelle entre Lisette et Lubin. Cette scène donne lieu à d’âpres explications entre les deux personnages qui ne risqueront pas moins que d'amuser le public. Lisette semblent contrariée de voir sa maîtresse ainsi "La voila qui soupire" tandis que Lubin lui semble être fier d'avoir rempli sa mission, tâter le terrain pour le Chevalier, "..ils ont fait plaisir à Madame, et monsieur le Chevalier l’accommodera bien autrement.."
Ces deux scènes sont très intéressantes car elles montrent clairement que le comique n'est pas forcément exprimé qu'à travers des faits et gestes drôles et amusants, dans ce passage le spectateur rit du malheur des autres, exprimé à travers des pleurs et des disputes.
Je trouve donc cette idée "les malheurs des uns font rire les autres" assez intéressante car elle évoque deux sentiments contraires qui justement s'allient formidablement bien dans ces scènes.
Problématique proposée :
En quoi la querelle entre Lisette et Lubin rend elle ce passage comique ?
Qu'est ce qui nous permet de voir à travers ce passage que chaque personnage cherche à défendre ses propres intérêts ? 
En quoi le fait que chaque personnage défende ses intérêts rend il ce passage comique ?
En quoi la tristesse exprimé par les personnages réussi t-elle à faire rire les spectateurs ?
En quoi la tristesse exprimé par les personnages réussi t-elle à faire rire les spectateurs ?
 
 
Bonjour Gabriel. L'extrait est peut-être un peu court pour qu'il y ait suffisamment matière à analyse. Personnellement, je l'aurais prolongé. A toi de voir.
RépondreSupprimerPour la problématique : qu'entends-tu par "expressions" ? Expressions langagières ? Ta question n'est pas assez claire. D'autre part, elle risque d'être trop précise pour pouvoir servir de support à un balayage du texte. A toi de voir aussi.
Tu peux reprendre ta proposition et la modifier.
Bonnes vacances malgré le travail !
CL
Par ailleurs et pour finir, pour la question "Pourquoi ?" , je veux que tu n'expliques pas seulement ce qui se passe dans la scène, mais surtout pourquoi elle est intéressante pour notre étude. Qu'a-t-elle de particulier, d'intéressant qui fait qu'on peut l'extraire de la pièce pour l'étudier ?
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