Bonjour à tous et à toutes et bonne année, mes meilleurs voeux !
La Seconde Surprise de l’amour est une comédie en trois actes de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux représentée pour la première fois le 31 décembre 1727 par les comédiens du roi au théâtre de la rue des Fossés Saint-Germain.
J'ai choisi, comme Jade Fawaz, la scène 3 de l'acte I de "La voilà qui soupire, ..." à "Bonjour l'ami." (pages 154-157) qui serait intérressante je pense à étudier en classe.
Dans cette scène Lubin, le valet du chevalier tente tant bien que mal de séduire Lisette, la suivante de la Marquise qui n'est pas attirée par lui ou du moins qui refuse ses avances, la phrase suivante le montre : "Je n'ai que faire d'un homme qui part demain : retire-toi." p157. En effet, Lisette utilise l'appelation péjorative "butor" pour qualifier Lubin. De plus, le sociolècte "pardi" (mot ou expression qui défini par sa forme, une classe sociale, un groupe social), utilisé par Lubin est témoin de la classe sociale de celui-ci : les domestiques, suscite le rire chez le lecteur.
Puis la provocation "Comment donc, tu me lorgnes?" "Oui-da, je te lorgne." témoigne d'une tension entre les deux personnages ce qui suscite le rire chez le lecteur. Enfin la manière dont Lisette s'adresse à Lubin est comique de part les expressions employées, elle se moque ouvertement de lui.
En conclusion les trois derniers vers de la scène montrent que l'attitude des domestiques a changé, ils sont passé de "plaisant garçon" à "la fille" et "ami", ce qui suscite le rire chez les lecteurs.
Problématique:
- En quoi l'échange qu'entretiennent ces deux personnages suscite le rire chez les lecteurs ?
Gayané Anastase
La Seconde Surprise de l’amour est une comédie en trois actes de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux représentée pour la première fois le 31 décembre 1727 par les comédiens du roi au théâtre de la rue des Fossés Saint-Germain.
J'ai choisi, comme Jade Fawaz, la scène 3 de l'acte I de "La voilà qui soupire, ..." à "Bonjour l'ami." (pages 154-157) qui serait intérressante je pense à étudier en classe.
Dans cette scène Lubin, le valet du chevalier tente tant bien que mal de séduire Lisette, la suivante de la Marquise qui n'est pas attirée par lui ou du moins qui refuse ses avances, la phrase suivante le montre : "Je n'ai que faire d'un homme qui part demain : retire-toi." p157. En effet, Lisette utilise l'appelation péjorative "butor" pour qualifier Lubin. De plus, le sociolècte "pardi" (mot ou expression qui défini par sa forme, une classe sociale, un groupe social), utilisé par Lubin est témoin de la classe sociale de celui-ci : les domestiques, suscite le rire chez le lecteur.
Puis la provocation "Comment donc, tu me lorgnes?" "Oui-da, je te lorgne." témoigne d'une tension entre les deux personnages ce qui suscite le rire chez le lecteur. Enfin la manière dont Lisette s'adresse à Lubin est comique de part les expressions employées, elle se moque ouvertement de lui.
En conclusion les trois derniers vers de la scène montrent que l'attitude des domestiques a changé, ils sont passé de "plaisant garçon" à "la fille" et "ami", ce qui suscite le rire chez les lecteurs.
Problématique:
- En quoi l'échange qu'entretiennent ces deux personnages suscite le rire chez les lecteurs ?
Gayané Anastase
Bonjour Gayané. D'accrod.
RépondreSupprimerModifie "sociolecte" que tu as trouvé dans une étude sans le comprendre. "Pardi" n'est pas un sociolecte mais en est la marque. Bref, de toute façon, ce n'est pas compréhensible par tes camarades si tu ne l'expliques pas.